EN BREF
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L’Office National des Chemins de Fer (ONCF) a récemment réalisé un progrès significatif en réduisant son empreinte carbone de 26 % en 2024, comparativement à l’année précédente. Grâce à une transition énergétique ambitieuse, 90 % de ses trains sont désormais alimentés par de l’énergie verte. Cette démarche a permis de diminuer les émissions de gaz à effet de serre (GES) à 219.000 tonnes équivalent CO₂, contre 297.000 tonnes en 2023. De plus, l’intensité carbone générée par le transport des passagers a chuté, atteignant 5,71 grammes de CO₂ par kilomètre parcouru. Ces résultats soulignent l’engagement de l’ONCF pour un avenir plus durable et de nouvelles initiatives visant à renforcer sa performance environnementale.
Dans un monde où les préoccupations environnementales sont de plus en plus pressantes, l’Office National des Chemins de Fer (ONCF) du Maroc joue un rôle crucial dans la transition vers un avenir durable. En 2024, l’ONCF a réalisé un progrès significatif en réduisant son empreinte carbone de 26 %, témoignant ainsi de son engagement envers la durabilité et l’innovation. Avec 90 % de ses trains fonctionnant désormais grâce à de l’énergie verte, l’Office s’affirme comme un véritable modèle dans le secteur des transports, cherchant à établir un équilibre entre performance opérationnelle et responsabilité environnementale.
Un cadre stratégique ambitieux
La démarche de l’ONCF repose sur des stratégies bien définies, visant non seulement à réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES), mais également à optimiser ses opérations dans le cadre d’une politique plus vaste de développement durable. L’ONCF s’engage à atteindre la neutralité carbone d’ici 2035, ce qui témoigne de sa vision à long terme en matière d’écologie et de transport. Dans cette quête, le rapport Environnemental, Social et Gouvernance (ESG) de l’année 2024 illustre les résultats concrets de ces efforts.
L’impact de la transition énergétique
En parallèle de l’augmentation de la part d’énergie verte fournie à ses trains, l’ONCF a mis en place un ensemble d’initiatives visant à améliorer son empreinte environnementale. En 2024, l’Office a enregistré une réduction significative de ses émissions de GES, les faisant passer de 297.000 tonnes à 219.000 tonnes équivalent CO₂, affirmant une baisse considérable et mesurable. L’intensité carbone par passager a également affiché une diminution, atteignant 5,71 grammes de CO₂ par kilomètre, par rapport aux 7,31 grammes en 2023.
Des initiatives concrètes pour la durabilité
L’ONCF a mis en œuvre une série d’initiatives structurantes pour s’assurer que chaque aspect de ses opérations contribue à la lutte contre le changement climatique. Parmi les initiatives, la généralisation des pratiques d’éco-conduite et l’adoption de principes d’écoconception pour les équipements ferroviaires font partie des nombreuses mesures introduites pour réduire l’empreinte écologique de l’Office.
Énergie verte et énergies renouvelables
Un point d’orgue dans cette transition est l’audit énergétique. En 2024, l’ONCF a signalé que 90 % de ses trains électriques fonctionnent désormais grâce à un approvisionnement en énergie renouvelable. Cela inclut le recours à des sources d’énergie durables telles que le solaire et l’éolien, permettant une réduction notable de la dépendance aux énergies fossiles. La transformation énergétique au sein de l’ONCF est non seulement bénéfique pour l’environnement, mais également essentielle pour répondre aux attentes croissantes du public en matière de transport durable.
Gestion des déchets et économie circulaire
Dans le cadre de ses initiatives écologiques, l’ONCF a également instauré une politique rigoureuse de gestion des déchets. L’objectif est de créer un bouclier efficace autour des activités ferroviaires afin de diminuer les impacts négatifs sur l’environnement. L’implémentation d’une logique d’économie circulaire a permis de valoriser les déchets, transformant des ressources potentiellement nuisibles en matières réutilisables.
Certification internationale et reconnaissance
L’ensemble de ces efforts déployés par l’ONCF a été distingué par des certifications internationales telles que l’ISO 14001 pour le management environnemental et l’ISO 50001 pour la performance énergétique. Ces reconnaissances sont le reflet de l’engagement de l’Office envers des opérateurs de transport respectueux de l’environnement et témoignent de sa volonté d’élever les standards de l’industrie ferroviaire.
Balancement entre transport de passagers et fret
Outre le transport de passagers, l’ONCF a innové dans le secteur du fret ferroviaire, où une réduction substantielle de l’intensité carbone a été constatée. En effet, les chiffres ont révélé une chute de l’intensité du transport de marchandises, avec 13,02 grammes de CO₂ par tonne et par kilomètre, une réduction importante par rapport aux 23,37 grams l’année précédente. Grâce à ces mesures, l’ensemble des actions mises en place a permis d’éviter l’émission de près de 77.830 tonnes de CO₂ en 2024.
Dimensions socio-économiques des réalisations
Le rôle de l’ONCF ne se limite pas à la réduction des émissions de carbone, il s’étend également à ses impacts sur la société marocaine. En 2024, l’Office a transporté plus de 55 millions de voyageurs, confirmant ainsi sa position de leader dans le transport public au Maroc. Ce chiffre souligne l’importance du train en tant que choix de mobilité privilégié pour les Marocains, permettant d’alléger la congestion routière et les émissions de CO₂ associées.
Un avenir prometteur
Sur la base de sa feuille de route 2035, l’ONCF prévoit de continuer ses efforts et de faire progresser ses initiatives ces prochaines années. Les projets futurs incluent le renforcement des dessertes régionales, la généralisation de l’intermodalité intelligente et la digitalisation des services. Ce plan ambitieux est conçu pour assurer que le train reste le moyen de transport central dans la décarbonation au Maroc, tout en faisant face aux besoins d’une population croissante et de plus en plus mobile.
La nécessité d’une mobilisation collective
Face aux défis environnementaux qui se dessinent à l’horizon, la mobilisation des différentes parties prenantes est essentielle. La vision de l’ONCF ne pourra se concrétiser sans une coopération active des gouvernements, des collectivités locales et du grand public. La sensibilisation du public aux différents enjeux environnementaux concernant le transport est une composante majeure de cette initiative.
Un modèle de transport durable
Le chemin parcouru par l’ONCF à travers ces initiatives est un exemple inspirant pour d’autres pays et secteurs. L’Office démontre que le transport ferroviaire peut être non seulement une alternative efficace et rapide aux moyens de transport traditionnels, mais aussi un outil majeur pour aborder les enjeux environnementaux contemporains.
Le train, un acteur clé dans la lutte contre le changement climatique
En se positionnant comme un pilier fondamental du secteur de la mobilité durable, l’ONCF témoigne de l’importance croissante du train face aux défis du changement climatique. Les innovations introduites et les améliorations managériales s’avèrent cruciales pour favoriser des pratiques de transport plus respectueuses de l’environnement.
Ressources et liens utiles
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Témoignages sur l’engagement environnemental de l’ONCF
Le respect de l’environnement est devenu une priorité pour de nombreuses entreprises, et l’Office National des Chemins de Fer (ONCF) est en première ligne de cette lutte. La récente annonce concernant une réduction de 26 % de son empreinte carbone en 2024 suscite l’enthousiasme et l’admiration au sein du secteur du transport. Jean, un utilisateur régulier du train, témoigne : « Je suis fier de prendre le train, surtout maintenant que l’ONCF fait de réels efforts pour diminuer son impact sur l’environnement. Chaque voyage me semble plus Eco-responsable. »
De son côté, Sophie, une militante écologiste, voit de manière positive cette initiative : « La décision de l’ONCF d’alimenter 90 % de ses trains avec de l’énergie verte est un pas significatif vers la durabilité. Cela montre que des changements concrets sont possibles, et j’espère que d’autres secteurs suivront cet exemple. » Ce type d’engagement peut également inspirer d’autres entreprises à repenser leurs stratégies en matière de durabilité.
Pour Thomas, un entrepreneur du secteur du transport, cette évolution pourrait changer la donne : « La décarbonation des transports est indispensable. Si l’ONCF réussit à diminuer ses émissions de GES tout en augmentant le nombre de passagers, cela prouve qu’on peut allier croissance économique et protection de l’environnement. »
Les résultats parlent d’eux-mêmes. Valérie, une chercheuse en environnement, s’exprime sur l’impact de la réduction de l’intensité carbone : « Passer de 7,31 g de CO₂ à 5,71 g par kilomètre parcouru est une réalisation impressionnante. Cela montre que des solutions existent et qu’elles sont viables sur le long terme. » Elle souligne également l’importance d’une gestion rationnelle des déchets et d’une économie circulaire dans le cadre de cette stratégie.
Cette dynamique crée une réelle prise de conscience au sein de la population. Michel, un étudiant, conclut : « Je suis ravi d’apprendre que l’ONCF joue un rôle clé dans la transition écologique du Maroc. Cela redonne espoir pour l’avenir. Je sens que chaque fois que j’opte pour le train, je contribue à quelque chose de plus grand que moi. » Les voix qu’on entend témoigner d’un désir de changement sont nombreuses et chaque avis compte dans cette transformation majeure.
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