EN BREF
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Dans un souci écologique, la Fédération Française de Football (FFF) a décidé de prendre des mesures concrètes pour évaluer l’empreinte carbone des matchs de l’équipe de France. Cette initiative s’inscrit dans le cadre de sa politique sociétale, visant à identifier les leviers de réduction des émissions de gaz à effet de serre. À partir de la saison 2022-2023, chaque rencontre sera scrutée afin de quantifier les émissions générées, avec l’objectif de sensibiliser le public à l’importance de la durabilité dans le sport. Ce projet permettra également de financer des actions de sensibilisation à l’écologie, promouvant ainsi un football plus décarboné et responsable.
Dans un contexte où l’impact environnemental des activités humaines est de plus en plus scruté, la Fédération Française de Football (FFF) prend les devants en s’engageant à mesurer l’empreinte carbone générée par les matchs de l’équipe de France. Cet engagement, au cœur de sa politique sociétale, vise à définir des stratégies de réduction efficaces tout en sensibilisant les supporters et la communauté au changement climatique.
Un engagement significatif pour le sport
Alors que le sport est souvent perçu comme un domaine à part, la réalité est que les événements sportifs, y compris le football, ont un impact écologique considérable. Chaque match de l’équipe de France, qu’il soit joué à domicile ou à l’extérieur, génère des émissions de gaz à effet de serre principalement dues à la logistique, aux déplacements des joueurs et des spectateurs, ainsi qu’à l’infrastructure des stades.
La FFF, consciente de cette réalité, a choisi d’agir en s’associant à des experts pour réaliser un bilan complet de son impact. Cela inclut la collaboration avec le cabinet UTOPIES, qui permettra d’identifier les leviers de réduction à implanter dans les années à venir.
Mesurer l’empreinte carbone : un premier pas vers des actions concrètes
Afin de quantifier les émissions liées aux matchs de l’équipe de France, la FFF prévoit de mettre en place un système de calcul pour évaluer l’empreinte carbone, l’objectif étant de comprendre l’ampleur des impacts et d’ensuite travailler pour les réduire.
Chaque match, à partir de la saison 2022-2023, fera l’objet d’un calcul qui prendra en compte plusieurs variables : les déplacements des équipes, l’énergie consommée au stade, l’impact des activités des supporters, etc. Ces chiffres seront cruciaux pour mettre en place un plan d’actions répondant aux enjeux environnementaux actuels.
Un rapport révélateur sur l’empreinte carbone du football
Le travail de la FFF s’inscrit dans un tableau plus large comme le montre le récent rapport de l’association The Shift Project, qui a mis en lumière l’empreinte carbone des sports en France. Avec un total de 2,2 millions de tonnes de CO2e, le football et le rugby sont particulièrement concernés par la nécessité d’agir.
Ce rapport a non seulement permis d’affiner la compréhension des émissions liées aux événements sportifs, mais il a également identifié des pistes d’amélioration, renforçant ainsi l’idée que le sport peut jouer un rôle fondamental dans la lutte contre le changement climatique.
Sensibilisation et actions à caractère écologique
Au-delà de la simple évaluation des émissions carbone, la FFF souhaite aussi déclencher une dynamique de sensibilisation au sein de sa base de supporters. C’est un enjeu essentiel : chaque supporter a un rôle à jouer dans la réduction de l’empreinte écologique.
Des campagnes de sensibilisation seront donc mises en place en parallèle des évaluations, visant à éduquer les fans sur les bonnes pratiques à adopter, tant au niveau individuel qu’en tant que communauté. Cela peut inclure des initiatives sur l’usage des transports en commun, le covoiturage ou encore l’encouragement au recyclage lors des matchs.
Un impact sur les résultats sportifs et environnementaux
En se lançant dans cette initiative, la FFF ne fait pas que respecter des engagements écologiques, elle se positionne aussi comme un acteur clé de la transition écologique dans le sport. Cette volonté d’allier performance sportive et respect de l’environnement peut avoir plusieurs bénéfices collatéraux.
Non seulement cela reflétera une image positive de la fédération et augmentera son attractivité, mais cela incitera également d’autres organisations sportives à suivre cet exemple. Dans un paysage sportif de plus en plus lié aux enjeux environnementaux, chaque geste compte pour faire la différence.
Conclusion : l’avenir durable du sport
Avec de telles initiatives, la FFF montre qu’elle est consciente de sa responsabilité envers l’environnement. En prenant en compte l’impact de ses actions, elle ouvre la voie à une transformation nécessaire du monde du sport.
Cette capacité à concilier sport et écologie pourrait très bien marquer le début d’une nouvelle ère pour le football en France. Des actions concrètes et mesurables sont désormais attendues pour concrétiser cet engagement et mobiliser les supporters autour de la cause écologique.

Dans le cadre de sa politique environnementale, la Fédération Française de Football (FFF) a décidé de passer à l’action en mesurant l’empreinte carbone des matchs de l’équipe de France. Ce choix stratégique marque une étape significative pour le football français, qui souhaite concilier passion du sport et respect de l’environnement.
Le cabinet UTOPIES accompagne la FFF dans cette démarche, et l’objectif est clair : identifier les >leviers de réduction d’émissions de gaz à effet de serre et ainsi augmenter la sensibilisation à l’écologie parmi les supporters, les joueurs et les acteurs du football.
Cette initiative intervient à un moment où l’impact écologique du sport est au cœur des préoccupations sociétales. Selon un rapport de l’association The Shift Project, le football génère environ 2,2 millions de tonnes de CO2 chaque année en France. Cela met en lumière l’urgence pour les instances sportives d’agir pour réduire leur empreinte.
À partir de la saison 2022-2023, chaque match de l’équipe nationale sera scruté afin d’évaluer les émissions générées. Avec cette approche, la FFF compte non seulement quantifier les émissions, mais également multiplier par 100 le total des tonnes équivalentes de CO2 engendrées pour financer des actions de sensibilisation à l’environnement.
En célébrant cette initiative, la FFF souhaite montrer l’exemple et pourrait inspirer d’autres fédérations sportives à s’engager dans la même voie. Pourtant, les défis sont multiples et l’engagement doit être collectif pour espérer une véritable transformation écologique dans le monde du sport.
Ce changement dans la manière d’appréhender le football démontre une volonté claire de la FFF de participer activement à la lutte contre le changement climatique tout en favorisant un avenir plus durable pour le sport. Les passionnés, désormais conscients de cet enjeu, sont appelés à être les ambassadeurs d’une nouvelle vision du football, ancrée dans le respect de la planète.
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